Michel RIFAUT

Conflans : voirie en trous

   

Avec d'autres à travers la ville de Conflans-Sainte-Honorine, cette voie est un axe "dit structurant" de  circulation, c'est aussi le trajet d'une ligne de bus reliant les deux gares SNCF et RER de la commune ! Certes, la ville de Conflans dispose de 95 km de voirie et il faut faire face aux rigueurs de l'hiver. Mais, il y a danger ! Les Conflanais sont avertis : il y a des trous en formation. La signalétique de voirie en fait  foi. Avertir c'est bien, mais boucher les trous ressemblant à des nids d'autruche c'est mieux ! Pourtant, les élus "responsables" et les services ont été interpellés à plusieurs reprises ...

 

 

Valérie Pécresse dans le JDD : "Nous voulons sauver le Grand Paris"

 Dimanche 24 février 2013

 

Grand Paris : 50 élus UMP interpellent Matignon

EXCLUSIF JDD - Valérie Pécresse, présidente du groupe UMP au conseil régional d’Ile-de-France, a écrit à Jean-Marc Ayrault pour défendre le projet et le calendrier initiaux.

 

Pécresse : "Nous voulons sauver le Grand Paris"

L’ancienne ministre du Budget a posté samedi une lettre à l’attention de Jean-Marc Ayrault. Un courrier publié par le JDD en exclusivité et cosigné par 50 parlementaires UMP d’Ile-de-France. A la manœuvre, Valérie Pécresse, députée des Yvelines et présidente du groupe UMP au conseil régional, qui s’inquiète de l’avenir du Grand Paris Express. A quelques jours de l’arbitrage du Premier ministre - le 6 mars -, elle détaille ses propositions concrètes.

 

Vous venez d’adresser une lettre au Premier ministre à propos du Grand Paris Express. Ce courrier est cosigné par 50 parlementaires franciliens, dont François Fillon, Jean-François Copé, Patrick Devedjian, Patrick Balkany, Philippe Goujon, Henri Guaino, Christian Jacob... Comment avez-vous réussi à réunir tous ces frères ennemis?
C’est que la cause le mérite. Malgré nos différences, nous voulons tous sauver le Grand Paris, tel que l’a imaginé Nicolas Sarkozy. En tant qu’élus nationaux et franciliens, nous savons qu’il s’agit du seul projet d’avenir pour cette région et que l’ensemble du pays en bénéficiera. Le Grand Paris est le seul moyen de créer des emplois et de résoudre la crise du logement en Ile-de-France. Il faut absolument conserver l’objectif initial de 30.000 emplois et 70.000 logements par an.

Pourquoi Nathalie Kosciusko-Morizet n’a-t-elle pas signé votre lettre? De même que Gilles Carrez et Yves Albarello, respectivement président de la commission des finances à l’Assemblée nationale et rapporteur du suivi de la loi sur le Grand Paris?
On recueille les signatures au fur et à mesure. 

Que demandez-vous?
Nous voulons que le projet soit réalisé dans son intégralité et dans les délais prévus, c’est-à-dire terminé en 2025. Il est indispensable de boucler la boucle. Si on tronçonne le Grand Paris Express, il n’existe plus et ne permet plus de résoudre la saturation des RER. De même, il est crucial de desservir les aéroports, vitrines pour les touristes, les investisseurs.

Vous exprimez votre "inquiétude" quant à la poursuite du projet…
Il y a de quoi être inquiet : 16 gares sont menacées [sur 72], ainsi que 78 km de tronçons [sur 200 km], c’est-à-dire 40% du projet. Depuis le début, le gouvernement ne cesse d’envoyer des signaux négatifs. C’était déjà une provocation de nommer Cécile Duflot, ministre en charge du Grand Paris, alors qu’elle a été l’une des plus virulentes opposantes au projet. Elle a voté contre le Grand Paris au conseil régional. Puis, il y a eu la non-inscription du milliard d’euro dans le budget 2013. Depuis, ce ne sont que déclarations contradictoires.

De nombreux spécialistes disent qu’il est impossible, même en Chine, de construire 200 km de métro d’ici 2025…
Mme Duflot a déclaré qu’on pourrait démarrer toutes les lignes en même temps! Cela signifie donc qu’aux yeux du Gouvernement, c’est réalisable. On ne peut pas décaler la livraison à 2030, c’est un horizon trop lointain. Et que dire de 2040? On peut se projeter à 10 ans. Mais vous trouverez peu d’acteurs économiques  qui envisagent leurs projets à 20 ans. De plus, tout retard risquerait de compromettre des projets d’envergure nationale comme le campus scientifique de Saclay ou le projet innovant de centre commercial et de divertissement  EuropaCity, dans le Triangle de Gonesse, qui permettra de créer 12.000 emplois pendant sa construction et 12.000 emplois lors de son exploitation.

Quelles sont vos "propositions innovantes"?
On a deux principes : on reste à 2025 et contrairement aux socialistes on n’augmente pas les impôts car les Franciliens sont en overdose fiscale. Dès lors, comment fait-on pour financer le surcoût de près de 10 milliards d’euros? D’abord, on allonge les délais d’amortissement des prêts ; pour le métro parisien, on a mis près de 100 ans pour rembourser. On peut aussi mobiliser un emprunt auprès de la Banque européenne d’investissement (BEI). On peut également faire appel à l’épargne réglementée, c’est-à-dire aux fonds du Livret A, récemment déplafonné. Ces fonds destinés à la construction de logements ne sont actuellement pas dépensés. C’est l’arrivée du métro automatique qui va permettre de créer des logements. Il y a donc une logique à se tourner vers le Livret A.

Quelles nouvelles ressources préconisez-vous, puisque que vous refusez toute recette fiscale supplémentaire?
Les socialistes ont décidé d’augmenter la TVA sur les transports de 7 à 10% au 1er janvier 2014. Cela représente 100 millions d'euros par an. Cet argent pris aux usagers franciliens, je souhaite que le Gouvernement l’utilise pour réaliser le Grand Paris Express. Autre piste : puisque le Grand Paris est un investissement, un futur joyau pour l’Etat, on pourrait envisager, pour le financer, de céder d’autres actifs détenus par l’Etat. Le portefeuille des participations de l’Etat dans les seules entreprises cotées s’élève à 55 milliards d'euros. Bien sûr, il ne s’agit pas de toucher aux secteurs stratégiques pour la France, ni de mettre en péril des emplois. Pas question de céder des participations dans Renault. Mais en 2007, Nicolas Sarkozy avait vendu une partie du capital d’EDF (3,5 milliards d'euros) pour financer les campus universitaires. Nous nous inscrivons dans cette logique. Enfin, nous demandons que la région Ile-de-France finance le Grand Paris Express à hauteur de 100 millions d'euros par an.

Où la région trouverait-elle une telle somme?
Elle peut faire de nombreuses économies et les mobiliser pour le Grand Paris Express. Déjà, il faut dénoncer un scandale : l’Etat a transféré à la région des taxes pour financer la modernisation des transports (taxe sur les bureaux, redevance pour création de bureaux, relèvement des amendes, TIPP "Grenelle"). Mais la région n’utilise pas tout pour les transports : 51 millions d'euros sont utilisés pour autre chose. Je demande l’affectation intégrale de ces recettes aux investissements de transport. Par ailleurs, on peut réaliser des économies de 30 millions d'euros par an sur les organismes associés de la région. Enfin, je réclame le déménagement du siège de la région du 7e arrondissement vers une zone périphérique ; ce qui permettrait de faire 25 millions d'euros d’économies par an. Mises bout à bout, ces économies représentent environ 100 millions par an. Toutes ces mesures additionnées permettent de financer le Grand Paris sans nouvelles taxes. 

 

Pour lire la lettre des 50 parlementaires UMP Franciliens adressée au Premier Ministre pour "Sauver le Grand Paris", cliquez ci-dessous sur :

http://www.lejdd.fr/var/lejdd/storage/original/media/files/jdd_paris/courrier-jm-ayrault.pdf

Canal Seine-Nord Europe : ça bouge !

   

Hiver 2010/2011 - Projet de construction d'un nouveau port plateforme multimodale dans les Yvelines à la Confluence Seine/Oise-Nord sur les communes d'Achères, Conflans-Sainte-Honorine, Andrésy et Saint-Germain-en-Laye. 

Le 5 avril 2011 - Le Président de la République lance la phase de dialogue compétitif pour la construction du Canal Seine-Nord Europe.

Le 19 mai 2011 - A l'issue du Comité consultatif, signature du protocole d'accord sur le financement de quatre plateformes multimodales sur le canal Seine-Nord Europe.

 

UN CANAL SEINE/NORD EUROPE.........POURQUOI ? 

Le canal Seine-Nord Europe : projet d’aménagement du territoire régional, national et européen

Le canal à grand gabarit Seine-Nord Europe à construire entre Compiègne et Aubencheul-au-Bac est le maillon central de la liaison européenne Seine-Escaut. Il représente un nouveau système pour le transport de marchandises entre la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne.

 

Seine-Nord Europe : maillon central de la liaison européenne à grand gabarit Seine-Escaut

   

Relier le Bassin parisien au Nord-Pas de Calais...

Les bassins de la Seine et du Nord-Pas de Calais représentent 60 % du trafic fluvial en France. Le canal du Nord, qui relie actuellement ces deux bassins de navigation, constitue de par sa faible capacité de transport (650 tonnes) un goulet d’étranglement qui interdit la circulation des convois à grand gabarit et limite ainsi considérablement les échanges fluviaux nord/sud. Le canal Seine-Nord Europe, qui accueillera des convois emportant jusqu’à 4400 tonnes, offrira une continuité de navigation entre les deux bassins et assurera le développement et la compétitivité du mode fluvial au service des entreprises.

...et au réseau européen

La réalisation du canal Seine-Nord Europe européen donnera naissance à la liaison européenne à grand gabarit Seine-Escaut, retenue en avril 2004 comme projet prioritaire du Réseau transeuropéen de Transport (RTE-T) par le Parlement européen et le Conseil européen. Elle désenclavera le bassin de la Seine en l’ouvrant sur le réseau européen de voies navigables vers l’Europe du nord et l’Europe centrale et orientale jusqu’à la Mer Noire, par la liaison Rhin-Main-Danube. La liaison assurera le raccordement des grands ports maritimes européens (Le Havre, Rouen, Dunkerque, Zeebrugge, Anvers, Rotterdam), et renforcera leur capacité de redistribution des marchandises à l’intérieur des terres. Les territoires desservis verront ainsi leur attractivité économique renforcée.

Un projet d’aménagement et de développement des territoires

Le projet de canal Seine-Nord Europe, élaboré avec les acteurs du territoire depuis 1993, s’accompagne d’implantations d’espaces portuaires générateurs d’activités liées à la logistique, l’industrie, au tourisme... Polyvalent, le canal assurera également une fonction hydraulique. Il contribuera à la lutte contre les inondations dans l’Oise et la Somme et à la sécurisation de l’alimentation en eau du nord de la France.

Lutte contre les nuisances aériennes

  

Mercredi 6 avril 2011 - Salle des Fêtes - Conflans

  

Les mesures étudiées par la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) risquent d'amplifier les nuisances aériennes sur notre région. En projetant une élévation de 300 mètres de l'altitude de vol des appareils à l'approche de Roissy, la mesure aurait pour conséquence d'étaler leur virage à la descente sur une zone supplémentaire de plus de 5 km à l'ouest. 

A l'invitation du CIRENA (Collectif Interassociatif du Refus des Nuisances Aériennes) et de la Ville de Conflans-Sainte-Honorine, une réunion d'information a été organisée ce 6 avril à la Salle des Fêtes. Etaient présentes environ 300 personnes ainsi que les Maires et de nombreux Elus Municipaux, dont Simone Simonin et Michel Rifaut, des communes de la Confluence et du Vexin. Les Maires se sont déclarés "Solidaires" et ont bénéficé du soutien du Député de la 7ème circonscription Arnaud Richard qui s'est engagé à leur côté  en se montrant particulièrement déterminé à lutter contre l'agravation des nuisances aériennes au dessus de notre secteur.                                                                                                  

c) Mdelaunay/Ville de Conflans Sainte Honorine

Une manifestation contre l'élévation de l'altitude de survol et de ses conséquences est prévue le 14 mai prochain aux alentours de la MJC et de la RN184 à Conflans.

La Loi relative au Grand Paris adoptée définitivement le 27 mai 2010 par le Parlement

    

Paris 3e. Paris vu des toits. © La documentation française - Photo : Bernard Descamps/Vu      

Sans surprise, et contrairement à la volonté politicienne de l'Opposition de Gauche et du Parti Socialiste en particulier qui a fait voter, dans toutes les municipalités de gauche d'Ile de France, une délibération contre le projet de loi sur le "Grand Paris" (voir compte rendu du Conseil Municipal de Conflans Ste Honorine du 17 mai 2010 - à voir ci-dessous sur ce site), le Parlement a adopté définitivement, le jeudi 27 mai 2010, la Loi sur le "Grand Paris".

A noter que la Loi valide le projet de Double boucle dit "Grand 8" (métro automatique de 130 km) défendu par Christian Blanc, Secrétaire d'Etat à la Région Capitale, et ouvre le lancement du débat public, à l'Automne 2010, par la Commission nationale du débat public. 

Le texte voté ouvre aussi la possibilité d'un second débat public sur le projet Arc Express (60 km) présenté par le Conseil Régional d'Ile de France. Pour nous, une occasion de voir si les Elus PS et de Gauche d'Ile de France accepteront finalement de participer au débat public sur leur propre projet, à partir d'une Loi qu'ils ont rejetée ?

 

 

A propos des "marches arrières" sur projets du Maire

 

 

Ma réflexions sur la façon de gérer les projets pour les Conflanais

 

Face à des protestations fondées des populations, organisées et structurées, utilisant les moyens de la pétition, de la communication et de la défense des intérêts des quartiers, le Maire et son équipe PS/Verts ont été contraints d’adopter la pratique de la "marche arrière", à deux reprises coup sur coup, sur des dossiers d’aménagements de quartiers présentés sans concertation préalable avec les riverains. Dossiers importants mais légers dans la présentation  et mal ficelés, ne prenant pas en compte les intérêts de la population,  avec le souhait apparent des Elus majoritaires de les faire « passer en force et dans le silence » mais qui dénotent aussi, il faut bien le dire, une certaine incompétence.

     

. En mars dernier, après plusieurs mois d’études et de réflexion, voire d’années, sort le projet « Mairie » de la desserte du Centre Ville et de l’Hôtel de Ville, par le prolongement de la  ligne de bus 17. Décision louable qui, il est vrai correspond à un besoin exprimé par la population. Mais…surprise, ce projet prévoyait l’inversion du sens de circulation et le passage des bus par les rues Victor Hugo et Sainte Honorine, rues étroites et aux trottoirs de largeur plus symbolique que réelle et défiait tous les problèmes potentiels de sécurité liés au quartier du Vieux Conflans (école, circuit touristique, bâtiments historiques, instabilité du sol et des constructions, cavités, présence de traverses en escaliers, étroitesse des chaussées et trottoirs, pollution et nuisances sonores etc…). Face à tant d’inepties, la réaction de la population du Vieux Conflans ne s’est pas fait attendre, les murs se sont couverts de calicots de protestation, des courriers ont été adressés en Mairie, des demandes de rendez-vous ont été faites, des réunions de travail ont eu lieu et……le Maire a du prendre la sage décision de retirer son projet ! En promettant de faire étudier une solution alternative...

      

  

.Un mois plus tard, même scénario au quartier du Plateau du Moulin. Le 15 avril, les habitants du quartier  reçoivent un courrier du Maire leur annonçant l’étude d’un projet visant à permettre la construction d’une Mosquée sur un terrain situé derrière le gymnase Bérégovoy dans le secteur des Hautes-Rayes. Face à la levée de boucliers des habitants du quartier qui en découla, en particulier en raison du manque de concertation préalable et sur la sur dimension du projet cultuel et culturel, le Maire, devait à nouveau faire marche arrière par courrier du 26 mai  adressé aux riverains du Plateau du Moulin et revenir sur  sa première proposition en précisant que finalement il proposait un terrain dans la zone des Boutries. Cela lui semblant plus approprié au projet lui ayant été présenté. Sage décision pour l’élaboration d’un projet de lieu de prière.

             

Je ne suis pas contre la desserte du Centre-Ville par un bus, ni par la construction d’un lieu de prière pour les Musulmans de Conflans. Mais ces deux exemples démontrent que des citoyens peuvent, forts d’arguments réfléchis, logiques et pleins de bons sens, et dans la mesure où seul compte l’intérêt général, faire changer ou annuler des décisions n’ayant pas fait l’objet, à l’évidence, d’études sérieuses indispensables, de concertation ni de réelle communication. Tout cela manque, à mes yeux, de sérieux et de considération à l’égard de la population conflanaise.

   

   

Pour plus d’information sur le dernier dossier "Mosquée", vous pourrez prendre connaissance ci-dessous des courriers du Maire des 15 avril et 26 mai 2010 en cliquant ci-après sur « Lire la suite de la note ».

   

    

Michel Rifaut

Conseiller Municipal UMP

   

    

Grève des bateliers à Conflans-Sainte-Honorine

     

La Seine à Conflans-Sainte-Honorine   (78) 

    

Le barrage de bateaux mis en place hier 4 mai par les bateliers à Conflans-Ste-Honorine est maintenu. Michel RIFAUT a rendu visite aux navigants en grève et a facilité l'organisation d'une rencontre, prévue le jeudi 6 mai, permettant à Pierre  CARDO, Député  de la 7ème Circonscription des Yvelines (Conflans-Maurecourt-Andrésy-Triel-Verneuil/sur/Seine-Meulan), de s'entrenir et d'écouter les mariniers grévistes de Conflans-Ste-Honorine. Il est à noter que le mouvement de protestation des professionnels de la voie d'eau prend de l'ampleur allant de la Basse Seine jusqu'au Nord et l'Est de la France, ainsi qu'en Belgique et aux Pays-Bas. Le mouvement semblerait vouloir aussi gagner l'Allemagne.

 

Pierre CARDO et la Batellerie

 

 

 

Pierre Cardo

Député des Yvelines

Trés préoccupé par les problèmes que peuvent rencontrer les bateliers et le transport fluvial en général, Pierre CARDO relaie régulièrement ces difficultés auprès du Gouvernement.

 

Ainsi deux interpellations ont été publiées au Journal Officiel du 30 mars 2010 portant sur

• les pratiques tarifaires de grandes entreprises, dont EDF et Arcelormital en matière de fret fluvial (Question n°75436)
  
  
• les problèmes auxquels sont confrontés les artisans bateliers français aux Pays Bas du fait de l'exigence, par les autorités néerlandaises, d'utiliser la langue néerlandaise pour les communications avec les station terrestres (Question n°75435) 

Conscient des problèmes actuels soulevés par les professionnels, il rencontrera les bateliers à Conflans-Sainte-Honorine, le jeudi 6 mai 2010

Au cours de ces dernières années, Pierre CARDO a interpellé le Gouvernement à une trentaine de reprises sur des problèmes spécifiques rencontrés par les bateliers, comme la retraite du conjoint collaborateur (2003), le financement du canal Seine-Nord (2005), la hausse des frais des carburants (2005), l'accès à Port 2000 du Havre par des écluses (2006), l'aménagement du Port de Courbevoie (2006), les délais de paiement imposés aux bateliers (2008).

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Pierre CARDO parlementaire en mission

Navires en fin de vie

Par décret du 5 décembre 2009, le Premier Ministre François FILLON a nommé Pierre CARDO parlementaire en mission auprès de Jean-Louis BORLOO en application de l'Article L.O. 144 du Code électoral.

Il est chargé de proposer des mesures concrètes pour la mise en place d'une filière française de démantèlement des navires en fin de vie (Mer).

(voir le décret et la lettre de mission)

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Des bateliers se déclarant en grève établissent un barrage sur la Seine

          

Lundi 3 mai 2010 16 h 30 : Quai Eugène Le Corre à Conflans Ste Honorine (78)

  

   

Certains bateliers mettent en place un barrage de bateaux entre les deux rives de la Seine en aval du pont de la RN 184 à Conflans Ste Honorine et se déclarent en grève. Ils manifestent ainsi pour attirer l’attention du Ministre JL. BORLOO dont le Cabinet devait recevoir cet après midi une délégation de la profession devant lui faire part des difficultés, d’ordre économique, rencontrées par la profession dans cette période de crise et face à  certaines concurrences. Les canaux du Nord de la France sont déjà bloqués depuis quelques jours. Un barrage est en place à Paris au niveau du quai d’Austerlitz et il est annoncé la constitution d’un nouveau barrage demain mardi à la hauteur d’Amfreville (76) en basse Seine. Dans ces conditions, le trafic fluvial de marchandises risque d’être inexistant entre Rouen et le Port de Gennevilliers, plate-forme alimentant la région parisienne en marchandises générales. Michel RIFAUT, sur place au moment de la constitution du barrage de Conflans a écouté les doléances de quelques bateliers en colère.

    

       

 
 
 

Valérie Pécresse : aux portes des gares de la Région

  

Mercredi 6 janvier 2010 - 7h30 - Gare de Conflans Ste Honorine

Autour de Michel Rifaut, les responsables de l'UMP Conflans ont ce matin distribué la première communication de l'année de Valérie Pécresse à la gare centrale de Conflans Sainte Honorine. Une première distribution qui était organisée à toutes les Gares de la Région, notamment sur le thème des "Transports".

Pour Valérie Pécresse,"FAIRE LA REVOLUTION DES TRANSPORTS, C'EST POSSIBLE".Cette initiative était  l'occasion, pour la candidate à la Présidence de la Région Ile de France, de présenter aux Franciliens ses 10 engagements pour les transports à travers : - Plus de service - Plus de sécurité - Des tarifs plus justes - Une toile d'araignée des transports en commun - Une meilleure utilisation de la route et Une meilleure utilisation des fleuves.